• Nouvel An Chinois à Paris

     

    Pour la petite histoire :

    Le nouvel an chinois représente la fête la plus importante pour les communautés chinoises à travers le monde entier. Cet événement se célèbre selon le calendrier lunaire chinois.
    Les 12 mois de ce calendrier qui débutent à chaque nouvelle lune, ne portent pas de nom mais sont désignés numériquement. L'ensemble des douze mois ne totalisant que 354 jours, il a fallu intercaler un mois supplémentaire, ce qui explique que le premier jour de l'année est chaque fois différent.
    Le zodiaque chinois est un cycle de 12 années dont chacune est placée sous le signe d'un animal symbolique.<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>


    Paris 13e
    Le nouvel an chinois, sera fêté le dimanche 18 février 2007. Après une année 2006 sous le signe du chien, le calendrier chinois 2007 célèbre le porc.

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    A Paris il se célèbrera essentiellement dans le quartier du 13e arrondissement situé dans le triangle porte de Choisy - porte d'Ivry - bd Masséna. Spectacles de danses de lions et de dragons, au 50 avenue d'Ivry (au pied de la Tour Helsinki), au 70 avenue d'Ivry (Magasin Tang Frères) et sur la dalle des Olympiades ;de 14h à 17h. Métro : Porte d'Ivry - 75013.<o:p></o:p>


    Autres arrondissements :

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    Paris 3e
    La diaspora chinoise du 3e arrondissement de Paris fêtera l’année du Cochon le dimanche 18 février dans les rues du quartier. Les rues de l’arrondissement s’égaieront de mille feux à partir de 14h place de l’Hôtel de Ville. Le défilé parcourera la rue du Temple jusqu’à la place de la République, pour revenir ensuite en boucle rue de Turbigo, rue Beaubourg et rue du Renard.
    L’arrivée du cortège est prévue à partir de 16h30.

    Paris 6e
    A l’occasion du Nouvel An Chinois (année du cochon), la Mairie du 6e, en collaboration avec l’Association des Compatriotes de Zhejiang vous propose :
    Lundi 19 février à 18h : Défilé de dragons sur la Place Saint-Sulpice.
    Mardi 20 et mercredi 21 février de 11h à 17h : Exposition des ateliers du nouvel an chinois au Salon François Collet. Renseignements au 01 40 46 75 06.
    Mairie du 6e 78 rue Bonaparte, 75006, M °: St Sulpice

    Paris 17e
    Samedi 24 février à 15h et à 20h,
    « Mythes et légendes », spectacle pour célébrer le nouvel an présenté par New Tang Dynastie Television (fondée par le Falungong). Un retour aux sources d’un art millénaire : danses et chants traditionnels (plus de 100 artistes sur scène).
    Lieu : Palais des Congrès de Paris 2 Place de la porte Maillot, Paris 17ème
    Prix des tickets disponible sur le site internet du Palais des Congrès de Paris.<o:p></o:p>

    http://www.palaisdescongres-paris.com/index2.php



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    La Chandeleur en France
     

     

    La fêtes des chandelles
    Fête de tradition catholique, la Chandeleur célèbre originellement la présentation de l'enfant Jésus Christ au Temple, précisément 40 jours après sa naissance.
    C'est en mémoire de cet événement, qu'à partir de 492 fut organisée une procession annuelle, au cours de laquelle étaient allumés des cierges bénis. La fête de la Chandeleur tire d'ailleurs son nom du latin festa candelarum (fête des chandelles).

    C'est lors de l'une de ces processions qu'est né le traditionnel partage des crêpes chaque 2 février. Afin d'encourager et de récompenser les nombreux pèlerins venus jusqu'à Rome pour fêter la Chandeleur, le pape Gélase 1er leur distribua des crêpes (de crispus, ondulé en latin), appelées "oublies" en ce temps, donnant ainsi naissance à une tradition toujours respectée.

    Dans le monde paysan, le 2 février symbolise également la sortie de l'hiver et le retour au travail agricole. Les chandelles bénies étaient donc conservées par les paysans superstitieux qui les rallumaient dans le but de protéger les futures récoltes. Avec le temps, les crêpes devinrent également un témoignage d'allégeance des fermiers envers leurs seigneurs, qui s'en voyaient offrir chaque année.

    Comme c'est le cas pour bon nombre de fêtes, il règne autour de la Chandeleur une atmosphère de superstition encore présente aujourd'hui. Nombreux sont ceux qui continuent à faire sauter leur première crêpe de la main droite, un Louis d'or dans la main gauche. D'autres encore jetaient cette première crêpe par dessus l'armoire, toujours par superstition...

    A noter que s'il est d'usage de manger des crêpes le 2 février, certaines régions du sud de la France fêtent la Chandeleur en dégustant des beignets.


    Le sarrasin, cette plante venue d'Asie

    On estime l'apparition des premières galettes à 7 000 avant notre ère. A l'époque, elles étaient préparées à partir de toutes sortes de céréales et entraient dans la nourriture de base, au même titre que les soupes et les bouillies.

    Le sarrasin, ou blé noir, a fait son apparition en France au XIIème siècle au retour des Croisés, à qui l'on doit l'importation de cette plante d'Asie. Car contrairement à son nom, le sarrasin n'a rien du blé, et appartient aux polygonacées comme l'oseille ou la rhubarbe, même si de par sa culture et son utilisation on a tendance à le classer parmi les céréales.

    Si la Bretagne est connue pour être la patrie des galettes de blé noir, c'est parce que les terres et le climat tempéré de ce pays convenaient parfaitement à la culture du sarrasin. On surnomme par ailleurs cette plante, plante des 100 jours, en référence à sa culture qui s'étend sur trois mois de juin à la fin du mois d'août.

    Le froment étant réservé aux riches propriétaires, longtemps le sarrasin, et notamment les galettes, a fait office de pain dans les bouillies et les soupes qu'il rendait plus consistantes. Ce n'est qu'à la fin du XIXème siècle, et la démocratisation du pain au froment, que le sarrasin a perdu de son influence dans la gastronomie.


    Avant que le froment ne devienne donc accessible à tous, existaient deux types de préparations à base de sarrasin : la galette et la crêpe de blé noir :
                     
    La galette comme on la consomme encore aujourd'hui était plutôt une spécialité de la Haute-Bretagne. On la garnissait de viandes, de jambon, de saucisses, de fromage et de poissons
                     En revanche, la crêpe de sarrasin, était beaucoup plus fine et croustillante. Cette texture particulière, qui rendait son garnissage difficile, justifiera
    d'ailleurs son abandon progressif au profit des simples galettes.

    Les crêpes possèdent différents noms selon les régions. On les connaît par exemple sous le nom de
    tantimolles en Champagne, vautes dans les Ardennes, roussettes en pays d'Anjou ou encore crupets en Gascogne.
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